Le mensonge existe, car nous avons des désirs différents dans une relation

Mensonge existe

Je désirais quelque chose de l’autre, mais l’autre ne voulais pas ou ne pouvais pas me le donner.

L’autre voulait quelque chose de moi, mais je ne voulais pas ou ne pouvais pas lui donner.

En fait, lorsque chacun a un désir différent, le mensonge est souvent utilisé sous forme de ruse afin d’obtenir quelque chose ou de ne pas donner à l’autre quelque chose.

Par bonheur, j’ai pris conscience que la solution au mensonge ne se trouvait pas en corrigeant le mensonge, mais dans un désir commun avant tout !

 

Quel est ce désir commun ?

Il y a deux sortes de désir compte tenu de mon niveau d’évolution de ma conscience d’être, ma conscience de qui je suis :

  • Les désirs de l’âme qui unissent consciemment par les sentiments d’être dans la relation.
  • Les désirs du corps qui divisent inconsciemment par les sensations physiques individuelles.

Il n’y à rien de mal avec les désirs communs ou individuels, ce qui compte est l’équilibre. Cependant, si je crois être un corps, alors je n’ai aucune conscience que je suis une âme qui communique au moyen de mes sentiments exprimés.

Le désir de mon âme est de se connaître en des versions de plus en plus grandiose au moyen de mes comportements ou états d’être que j’offre consciemment dans mes relations.

Ce désir commun n’est pas de vouloir quelque chose des autres, mais d’être quelque chose. D’être bien tous les deux dans la relation, peu importe ce que nos corps désirent.

En réalisant qu’il n’y a qu’un être qui s’exprime sous des corps différents, j’ai compris que lorsqu’il y a un seul désir, alors il n’y avait qu’une seule intention.

Par conséquent, en étant conscient de mes sentiments et ceux des autres, alors mes désirs sont communs, soient de choisir d’être bien tous les deux dans la relation, peu importe ce que je veux et sans avoir à l’esprit un quelconque retour ou condition en échange.

 

Ce désir commun se nomme l’amour !

L’amour n’exige rien et ne veut rien, car il se suffit à lui-même et laisse l’entière liberté à l’autre.

Il laisse à l’autre, une opportunité de création libre de satisfaire mes désirs ou non, car je n’ai pas besoin de l’autre pour être heureux.

Jamais nous n’aurions rien à cacher ni rien à mentir si nous étions conscients de l’existence de notre âme, de notre désir d’être bien tous les deux !

J’ai compris que j’avais oublié de choisir un désir d’être bien, un désir commun pour moi et l’autre, car j’étais uniquement préoccupé ou concentré sur ce que je voulais avoir, non sur ce que je pouvais être en relation avec l’autre. 

N’est-il pas plus aimable de me rappeler que je suis une âme et non un corps ?

N’est-il pas plus aimable de me rappeler que l’autre est une âme et non un corps ?