Aucun vaccin n’existe pour guérir du coronavirus, et tout semble croire qu’il faudra une année ou plus.
Nous regardons la télé ou Internet, et tout ce que nous voyons sont des résultats comme dans un jeu de domino (nombre testés, nombre infectés, nombre hospitalisés, nombre au soins intensifs, nombre de morts).
Cela dirige notre attention et notre énergie vers les résultats, non la source première qui donne naissance à ces résultats.
Par exemple :
- Les scientifiques cherchent des moyens innovateurs pour identifier et tester les gens qui pourraient être porteurs du virus
- Les gouvernements demandent ou imposent des contraintes pour éviter la propagation du nombre de gens infectés
- Les infirmières prennent soins des patients dans les hôpitaux pour réduire le nombre de gens hospitalisés
- Les médecins prennent soins des patients critiques pour réduire le nombre en soins intensifs
- Les biologistes pharmaceutiques cherchent à créer un vaccin pour réduire le nombre de morts
Ainsi, la plupart des gens réagissent pour chercher une solution afin de changer les résultats ou les effets (les nombres) et peu de gens remettre en question les croyances (la cause probable) de l’Organisation Mondiale de la Santé concernant la propagation du coronavirus.
La cause première est toujours quelque chose d’invisible et non mesurable !
Les croyances de l’OMS concernant la propagation du coronavirus
Sans nous en rendre compte, nous sommes presque tous conditionnés ou hypnotisés à mettre nos énergies et notre attention sur les résultats (les choses mesurables), rarement sur ce qui crée les résultats (les choses invisibles, non mesurables).
Cette cause invisible et non mesurable est notre croyance comment se propage ce nouveau virus.
Pour éviter que des milliards de gens soient infectés dans le monde et tuer des millions de gens, il faut mettre plus d’efforts et plus d’attention pour enrayer la transmission, la contagion. Pour cela, il faut vraiment comprendre comment se propage le coronavirus et non de s’en remettre à des anciens virus, à des virus connus dans le passé, qui font obstacles à connaître la façon comment ce nouveau virus se propage.
N’est-il pas écrit de ne pas mettre du vin nouveau dans de vieilles outres !
Je lis depuis le début de l’année 2020, toutes les directives et les rapports quotidiens de l’OMS sur le coronavirus et je suis inquiet de voir leurs études et leurs conclusions qui manquent de discernement et de conscience. Surtout, lorsque l’on voit des millions de gens infectés et que rien ne semble aller mieux dans notre monde.
Il y a quelque chose qui ne fonctionne pas avec l’OMS.
Comme tous les gouvernements et les gens croient profondément, aveuglément et sans remettre en question l’OMS, alors je me suis mis à relire et à repenser comment le coronavirus pourrait se propager et de là, voir si l’OMS pourrait se tromper concernant la propagation du virus.
Lorsque nous avons une réponse que nous croyons vraie, alors nous l’oublions dans notre conscience par l’inconscience collective (des millions croient la même chose) et nous prenons ensuite toutes nos décisions et faisons nos actions à partir de cette croyance qui vont produire toutes nos connaissances à ce sujet sans remettre en question, la croyance originale. Comprenez-vous ?
Mais lorsque nous avons un doute, lorsque nous remettons en question une croyance, notre esprit commence à agir et à s’ouvrir afin de voir plus de possibilités.
Ce sont les croyances acceptées qui sont nos pires ennemis, non le coronavirus !
Voici ce qui me préoccupent énormément
Je mets en rouge mes inquiétudes et je mets en bleu mes remises en question
Croyance 1 de l’OMS : Comment la COVID-19 se propage-t-elle ?
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, la COVID-19 est transmise par des personnes porteuses du virus. La maladie peut se transmettre d’une personne à l’autre par le biais de gouttelettes respiratoires expulsées par le nez ou par la bouche lorsqu’une personne tousse ou éternue. Ces gouttelettes peuvent se retrouver sur des objets ou des surfaces autour de la personne en question. On peut alors contracter la COVID-19 si on touche ces objets ou ces surfaces et si on se touche ensuite les yeux, le nez ou la bouche. Il est également possible de contracter la COVID-19 en inhalant des gouttelettes d’une personne malade qui vient de tousser ou d’éternuer. C’est pourquoi il est important de se tenir à plus d’un mètre d’une personne malade.
Croyance 2 de l’OMS : Peut-on contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui ne présente aucun symptôme ?
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, la maladie se propage principalement par les gouttelettes respiratoires expulsées par les personnes qui toussent. Le risque de contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui ne présente aucun symptôme est très faible. Cependant, beaucoup de personnes atteintes ne présentent que des symptômes discrets. C’est particulièrement vrai aux premiers stades de la maladie. Il est donc possible de contracter la COVID-19 au contact d’une personne qui n’a, par exemple, qu’une toux légère mais qui ne se sent pas malade.
Croyance 3 de l’OMS : Dois-je porter un masque pour me protéger ?
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, il ne faut porter un masque que si on présente des symptômes de la COVID-19 (en particulier, la toux) ou si on s’occupe de quelqu’un susceptible d’être atteint de la maladie. Les masques jetables sont à usage unique. Si vous portez un masque alors que vous n’êtes pas malade ou que vous ne vous occupez pas de quelqu’un qui est malade, c’est du gaspillage. Comme il y a une pénurie mondiale de masques, l’OMS conseille de les utiliser avec parcimonie. L’OMS recommande de faire un usage rationnel des masques médicaux afin d’éviter le gaspillage de ressources précieuses et l’utilisation abusive. La meilleure façon de se protéger et de protéger les autres contre la COVID-19 est de se laver fréquemment les mains, de se couvrir la bouche avec le pli du coude ou avec un mouchoir et de se tenir à une distance d’au moins un mètre de toute personne qui tousse ou qui éternue.
Mes remises en question sont :
Des milliards de gens croient que le coronavirus se propage par éternuement ou au contact avec des objets. Si c’était le cas, il y aurait très peu d’infection, car dans notre vie de tous les jours, les gens ne toussent pas dans la face des autres. Évidemment, il y a contamination par éternuement, mais beaucoup plus par ceux qui n’ont pas de symptômes, ceux qui ne sont pas fiévreux ni avec une toux. Ainsi, la plus forte transmission et la plus simple se fait par la parole lors d’une discussion avec les gens, par ces petites gouttelettes invisibles sortant de notre bouche.
Plus nous parlons, crions ou parlons fort et plus il y a propagation, si vous êtes infecté sans avoir de symptôme.
L’OMS oublie-t-elle que la transmission se fait aussi par la parole ?
Est-il possible que la solution pour éviter la contagion communautaire ou en public soit LE SILENCE car ainsi, aucune gouttelette ne se propage pour infecter les autres ?
Un confinement total d’au moins 14 jours est requis
Pour éviter la multiplication des gens contaminés, il faut nécessairement passer par un confinement d’au moins 14 jours à la maison sans avoir sorti et ainsi s’assurer de connaître votre état de santé. Après cette période, vous avez deux situations possibles :
- Vous avez le coronavirus, car vous avez des symptômes.
- Vous n’avez pas le coronavirus, car vous vous portez bien.
Si vous sortez de la maison pendant le confinement, vous pouvez avoir deux situations possibles et devoir recommencer un confinement de 14 jours en vous isolant des gens dans votre maison :
- Avoir le coronavirus, si quelqu’un sans masque vous a parlé à moins de 2 mètres de vous sans que vous ayez mis un masque N-95.
- Transmettre le coronavirus, si vous avez parlé à quelqu’un à moins de 2 mètres de vous sans avoir mis de masque de protection.
Si vous sortez de la maison après le confinement, vous pouvez avoir une situation possible et devoir recommencer un confinement de 14 jours en vous isolant des gens dans votre maison :
- Avoir le coronavirus, si quelqu’un sans masque vous a parlé à moins de 2 mètres de vous sans que vous ayez mis un masque N-95.
FAITES ATTENTION AUSSI BIEN À CEUX QUI PARLENT QU’À CEUX QUI TOUSSENT !