Perdre son emploi après 40 ans est malheureux, en trouver un autre est pire !


Peu importe votre âge, perdre son emploi est une expérience douloureuse, mais cette douleur est essentielle pour donner un nouveau sens à votre vie !


Quel sentiment affreux de perdre un emploi après 40 ans ?

Quelle profonde inquiétude en pensant aux nombreuses responsabilités que vous devez continuer à assumer ?

Mais n'oubliez pas que si vous réagissez avec les mêmes habitudes inconscientes qui ont créé votre situation, vous allez reproduire les mêmes conséquences ou pires que celles que vous vivez !

Heureusement, une perte d'emploi est une occasion magnifique de réveiller votre passion et choisir un nouveau sens à votre vie.

À moins bien-sûr, que l'emploi soit le seul espoir que vous pensez pour vous !

 

 

Perdre son après à 40 ans ou 50 ans

 

Vivre sans passion et sans compassion est la pire chose concernant un travail

Je ne sais pas pour vous, mais la première fois que j'ai perdu mon emploi, je ne m'y attendais pas et la surprise fut grande !

J'ai perdu mon premier emploi à 37 ans, dans un travail que je faisais depuis 19 ans. Ma réaction immédiate a été de chercher un autre emploi.

Combien difficile fut de me trouver un nouvel emploi, mais combien difficile à le conserver, et on m'a congédié quatre autres fois dans l'espace de deux ans.

En fait, je cherchais à corriger ma situation avec la même solution qui a créé mon problème, au lieu de comprendre comment mon problème s'était créé.

Ainsi, la pire chose qui pourrait nous arriver après une perte d'emploi et de ne jamais prendre conscience de faire un travail que l'on aime et se sentir obligé de faire un travail sans passion.

 

Perdre son emploi est probablement la plus belle chose qui peut nous arriver

Vivre dans la sécurité d'un emploi est un idéal que bien des gens désirent et j'en faisais partie.

Quand j'avais un emploi, jamais je n'avais la conscience et l'intention de vivre de ma passion, car rien ne venait secouer mon confort, mes habitudes apprises ni me permettre de créer quelque chose.

Combien de fois ai-je répété que j'aimais mon travail afin de bien paraître ? Si j'aimais tellement mon travail, pourquoi j'avais hâte aux fins de semaines ou aux vacances ? Pourquoi mentir et ainsi m'endormir dans mes peurs de ne pas accepter ma vie telle qu'elle était, de ne pas me connaître afin de vouloir me faire reconnaître pour compenser ?

Après 5 pertes d'emploi, j'en ai eu assez !

Je me suis promis de ne plus faire le même choix, car j'avais compris que j'avais choisi ce chemin en imitant les autres sans m'en rendre compte, car tout autour de moi, les gens vivaient de cette façon.

 

Avons-nous choisi un travail que nous aimions ?

En fait, j'avais choisi d'imiter les autres par l'enseignement reçu, et en l'ayant choisi, je l'ai créé ! J'ai créé mes pertes d'emploi sans m'en rendre compte et aujourd'hui, je suis reconnaissant d'avoir pris conscience de certaines habitudes concernant l'enseignement et l'emploi.

  • Peut-on vraiment prendre conscience de notre passion, quand on nous dit quoi penser, quoi faire, quoi avoir et qui être ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion dans un environnement où les enseignants ne vivent pas de leur passion et ne voient pas l'importance des relations ni de la liberté de choisir ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion dans les obligations imposées, dans les conditions et les règles de moralité pour mieux nous contrôler ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion, quand ce qui compte est d'avoir un titre ou une profession comme motivation pour bien paraître ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion, quand on nous force à se faire compétition dès notre plus jeune âge ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion, quand le but d'un travail est de faire de l'argent, de gagner sa vie et ainsi la perdre en étant obsédé par l'argent ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion, quand des milliers de personnes font exactement le même travail que nous ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion, quand les véritables domaines de travail qui comptent vraiment sont ceux qui sont jugés de mal ?

  • Peut-on prendre conscience de notre passion, quand le pouvoir sur les autres, le contrôle sur les autres, est un travail jugé important pour être à la hauteur, être supérieur aux autres ?

 

L'enseignement ne s'intéresse pas aux gens, aux clients !

Les professeurs et ceux qui dirigent ce système ne s'intéressent pas vraiment aux étudiants, mais s'intéressent plutôt à leur travail. Ils ne sont pas conscients que les étudiants sont leurs clients, car les enfants sont "obligés" à aller à l'école et les parents sont "obligés" à payer le gouvernement et les écoles à ce sujet.

Ainsi, les employés qui sont payés par le gouvernement ou tout autre système, n'ont aucune compassion, car leur salaire est garanti, peu importe la satisfaction des clients. Ils ont oublié qui étaient leurs vrais clients, mais n'ont pas oublié que leur patron garantissait leur sécurité d'emploi.

Comment ces employés, peu importe leur titre, peuvent-ils comprendre et voir l'importance de la relation entre un travailleur et un client ?

En vérité, plus les gens passent du temps à l'école et plus ils sont conditionnés à croire qu'ils sont supérieurs. En fait, ils ont des comportements inférieurs et sont de plus en plus habillent à parler sans faire d'action. Ils ordonnent aux autres de faire ce qu'ils ne veulent pas faire ou imposent des règles pour le faire et ainsi ne jamais connaître leur vérité, ne jamais évoluer en conscience au moyen de l'expérience qui produit des sentiments.

Sans la compassion, il ne peut pas avoir de passion dans ce que nous faisons et alors notre travail devient monotone et si nous l'aimons, alors il devient une fausse passion qui nous fait perdre de vue, les problèmes des autres, donc notre compassion envers eux.

Sans la compassion par des actions, il n'y a pas de conscience morale !

 

Nous travaillons pour l'argent et non pour l'amour de soi et des autres

Le seul but pourquoi nous travaillons est de gagner notre vie, de gagner de l'argent en échange du temps et des efforts dans un travail.

Presque tout le monde autour de moi, y compris mes parents, mes professeurs et les quelques entrepreneurs ou professionnels que je connaissais, travaillaient pour faire de l'argent, pour gagner leur vie.

Ainsi, je n'ai jamais eu d'autre point de vue que le travail existait uniquement pour gagner sa vie.

Jamais personne m'a montré un autre choix qui consistait à aimer faire quelque chose qui pouvait apporter du bien-être aux gens. D'aimer faire quelque chose que les autres n'aimaient ou ne voulaient pas faire, mais qui devait être fait.

Et ils étaient disposés à payer pour mes services, en autant que cela apportait de la valeur à leur vie, selon eux. Et non d'imposer ou d'obliger cela comme le fait les gouvernements ou autres systèmes qui cherchent le contrôle sur les gens.

Aujourd'hui, je suis conscient que je n'ai pas à m'inquiéter concernant l'argent, mais à avoir l'intention d'apporter quelque chose d'utile, d'unique et qui compte vraiment aux gens dans un domaine que j'aime faire.

Sans votre perte d'emploi, comment pouvez-vous choisir un autre sens à votre vie, apprécier ce que vous aimez faire et vous faire apprécier par les autres qui sont heureux de votre contribution dans leur vie ?

Est-ce que vous avez bien compris mon point de vue ? Si oui, alors expliquez-le à une autre personne afin d'en prendre conscience !

 


 

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Auteur entrepreneur de plusieurs contenus éditoriaux de sites Web et fondateur d'entreprise. C'est la vérité qui libère et non les efforts qu'on fait pour se libérer.