Pourquoi devons-nous lutter pour survivre dans la dignité ?


Est-ce que l'évolution des gens d'une société se mesure dans la façon de traiter ou d'honorer les plus petits, les plus démunis en toute dignité ?


Pouvons-nous voir ensemble, sans jugement, les choses telles qu'elles sont et comprendre si nos luttes fonctionnent afin que nos gens proches puissent vivre dans la dignité avant de choisir des buts plus grandioses ?

 

 

Lutter pour survivre dans la dignité

 

Pourquoi travailler pour la dignité fondamentale ?

Une des plus profondes croyances que nous avons est celle de dire que si nous donnons tout aux gens, alors ils deviendront paresseux et très peu voudraient travailler pour gagner leur vie !

Il en est de même concernant nos enfants.

Si les besoins de chaque individu ou de chacun de nos enfants, peu importe leur âge, étaient satisfaits et ainsi arrêter de lutter pour la simple survie, est-ce que cela ouvrirait le chemin afin que toute l'espèce humaine, que chacun de nos enfants, s'engagent dans des buts plus nobles, plus valables, plus merveilleux ?

Mais qu'est-ce que la dignité humaine la plus fondamentale ?

Avons-nous peur de manquer de quelque chose ?

Pourquoi vouloir le pouvoir sur les gens ?

Que puis-je faire seul ?

 

Qu'est-ce que la dignité humaine ?

La dignité humaine la plus fondamentale n'est-elle pas le droit que chacun obtient à la naissance ? Ne devrait-elle pas l'être pour tout le monde ?

De ne jamais s'inquiéter des choses essentielles de base pour ne pas mourir de faim, de soif, d'avoir un toit et des vêtements ?

Si les gens veulent davantage que les choses essentielles minimums, donc plus de nourriture, une plus grande maison, de beaux vêtements à la mode, alors ils peuvent travailler à atteindre ces buts.

Mais pourquoi doivent-ils lutter, se battre pour survivre, sur une planète où il y en a plus que suffisamment pour chaque individu ?

N'est-ce pas la question primordiale que nous sommes exposés ?

Ce qui compte n'est pas de rendre tout le monde égal, mais d'avoir l'assurance d'une survie de base dans la dignité et qu'ensuite, ils puissent choisir librement, ce qu'ils aimeraient avoir de plus.

L'éducation et le travail ne deviendraient plus une corvée ennuyante, mais une joie immense, car les buts seront des choix personnels et non imposés !

 

Avons-nous peur de manquer de quelque chose ?

Avez-vous observé que des milliers de gens meurent de faim à chaque jour ? Que des millions n'ont pas de toit ? Que des milliards implorent la simple dignité ?

Et pourtant, il y a suffisamment de ressources sur notre planète afin de garantir des provisions adéquates à tous.

Les riches et les gens au pouvoir qui contrôlent les systèmes organisés, qui nous obligent à s'éduquer et à travailler afin de survivre, nous enlèvent notre pouvoir.

En vérité, ces systèmes n'ont qu'un seul but ; soit de protéger des intérêts acquis et d'en accumuler davantage en faisant croire que cela est pour le bien de tous et que nous avons besoin de travailler pour eux afin de survivre.

La dignité de tous doit-elle être sacrifiée pour la gloire individuelle de ce petit nombre de gens qui sont les riches et les puissants ? Quel genre de gloire obtenons-nous en profitant des autres ?

Avez-vous peur de manquer de quelque chose au point de devoir accumuler de plus en plus pour afin de ne pas en manquer ?

 

Le pouvoir sur les gens ou avec les gens !

Si nos gens fortunés disent qu'ils ne veulent pas aider les pauvres, les affamés et les sans-abri afin de ne pas leur enlever du pouvoir, alors ils sont des hypocrites. Car personne n'est vraiment fortuné, quand d'autres sont en train de mourir.

Le genre d'aide qui mettrait fin à ce manque de dignité fondamentale n'est pas l'aide qui enlève du pouvoir, mais bien l'aide qui nous redonne du pouvoir.

Pour savoir si nous aidons ou si nous nuisons au gens, nous devons nous poser ces questions importantes :

  • Est-ce que les gens se sentent plus grands ou plus petits avec notre aide ?

  • Sont-ils plus capables ou moins capables ?

  • Sont-ils devenus plus indépendants ou plus dépendants ?

Le défi consiste à trouver l'équilibre entre le fait d'aider les gens et celui de leur nuire en croyant les aider !

 

Seul, je n'y peut rien !

Les gens fortunés n'ont vraiment pas d'intérêt à changer quelque chose, car ils ne voient pas de plus grands intérêts pour eux de vivre dans un monde où il y a des chances égales pour tous, une dignité fondamentale pour tous.

Ils ne voient pas qu'il est dans leurs intérêts de ne pas ériger un mur d'isolement pour se protéger de ceux qui n'ont pas de dignité fondamentale et qui cherchent à combler des besoins essentiels, car ils ne partagent pas.

Cela coûte cher des politiques d'armements, de sécurité militaires et de frontières à s'occuper ! Une partie de cette argent investi pourrait être utilisé pour nourrir les gens qui meurent de faim et qui désirent la simple dignité. Ils éviteraient alors, les conflits et les guerres.

Ils ne voient pas une simple vérité ; que c'est par le partage que l'on reçoit et que c'est en accumulant que l'on peut perdre.

Comment alors, quelqu'un qui n'est pas riche, peut-il arriver à créer de grands changements ?

Comment vous, comment moi, puis-je arriver à créer un monde différent en étant seul ?

Tout simplement en débutant dans ma conscience et dans mes relations avec ma famille proche. Je me dois de commencer tout près avant d'aller plus loin.

Assurer la survie de base à mes enfants avant d'aller plus loin dans des buts plus grandioses pour aider les autres à s'assurer d'une dignité de base sans dépendre des systèmes qui ne fonctionnent pas pour la dignité de tous.

Lorsque notre conscience évolue, notre définition de la famille évolue également pour inclure tous les autres jusqu'à ce que nous observons que nous sommes UN.

 

Maintenant vous ?

Quels sont vos sentiments qui résonnent le plus avec ce qui est écrit ? Laissez-moi vos commentaires pour mieux écouter vos inquiétudes.

 


 

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Auteur entrepreneur de plusieurs contenus éditoriaux de sites Web et fondateur d'entreprise. C'est la vérité qui libère et non les efforts qu'on fait pour se libérer.